Au commencement...
Depuis toute petite, j’ai les mains qui démangent🙌
Créer, bricoler, transformer… le DIY a toujours fait partie de ma vie.
Et puis un jour, j’ai posé mon cœur (et mon fil) sur la couture. 🧵
Dix ans plus tard, c’est devenu un rituel quotidien, une passion si forte que j’ai décidé d’en faire mon métier.
PS: sur la photo c'est ma mamy qui était couturière aussi 🫶
Tout commence souvent par un besoin personnel
Un accessoire qui me faciliterait la vie ou rendrait mon quotidien plus joli.
Je couds, je teste, 🤔 j’ajuste.
Et quand je tombe amoureuse du résultat, je le partage ici.
Parce que je suis convaincue que si ça m’est utile à moi, ça le sera sûrement pour toi aussi.
Je me pose des barrières?
Mais la couture, ce n’est pas qu’une histoire d’aiguille et de fil.
C’est aussi la chasse au trésor du tissu. Je pourrais passer des heures à flâner dans les rayons, mais je me suis fixé une règle d’or : pas de tissus fabriqués exprès pour les couturières.
J’aime mieux donner une seconde chance aux stocks dormants des usines textiles, ceux qui auraient fini brûlés faute d’usage.
Ce ne sont pas toujours les couleurs tendance ni les imprimés du moment, mais ce sont des matières qui me plaisent, qui dureront, et qui traverseront les saisons sans se démoder.
Et puis, il y a mon petit faible : les chutes.
Ces morceaux délaissés, trop petits pour un vêtement mais parfaits pour un accessoire unique.
En dix ans, j’ai déjà accumulé un joli trésor de restes en tout genre, et j’espère bientôt récupérer aussi ceux d’autres couturières pour les sauver d’une fin injuste.
(PS: Si tu en as et que tu veux t’en séparer, pense à moi 💌).
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Mes machines
Dans mon atelier, je ne suis jamais seule : mes machines à coudre – mes fidèles alliées – m’accompagnent chaque jour. Je les bichonne, je les connais par cœur, et je les aime presque autant que mes créations.
À côté d’elles, il y a mon fer à repasser (parfait pour des finitions aux petits oignons), ma machine de découpe (qui me permet d’ajouter ta petite touche perso),
et bien sûr… mes complices numériques : téléphone, ordinateur et appareil photo, pour partager avec toi chaque étape de cette aventure.
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Ma sélection des tissus
Côté tissus, je me suis fixé une règle claire : n’acheter que des stocks dormants.
Ces tissus, oubliés des usines textiles, finiraient détruits s’ils ne trouvaient pas preneur. Moi, je leur offre une seconde chance.
Et au-delà de ça ? Pas de limite. Matières, couleurs, textures… tout est permis, tant que ça me fait vibrer et que ça pourra te plaire longtemps.
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Mes autres fournitures
J'adore chiner sur les brocantes et trouver de vieilles boîtes de biscuits pleines de boutons déparaillés. comme je n'utilise généralement q'un seul bouton par pochette je peux leur donner une seconde vie.
Seule la ouatine est achetée neuve parce que je n'en ai jamais trouvée ailleurs
